Accueil/Lyon Centre/Hyper-Centre/Palais de la Bourse
En 1853, afin de mettre en avant la rue de la République, le préfet VAÏSSE décide de réunir dans un même lieu plusieurs institutions lyonnaises. Le Palais de la Bourse va permet de réunir rien moins que : la Chambre de Commerce, le Tribunal de Commerce, le Conseil des Prud’hommes, la Compagnie des Agents de change, la compagnie des Courtiers en soie et en marchandises, le Musée d’Art et d’Industrie, le Crédit Lyonnais et même des magasins.
Il est inauguré par Napoléon III et Eugénie en 1860. A partir de 1861 les institutions s'installent progressivement.
La façade côté rue du bâtiment a connu un événement majeur le 24 juin 1894. L'assassinat du président Sadi CARNOT par arme blanche d'un anarchie au nom de Casério. Pour rappeler le drame, une plaque a été installé sur le mur et surtout une dalle en granit rouge a été scellée dans le trottoir à l'endroit exact du crime.
Le côté Cordeliers, la façade est décoré de sculptures simples mais bien travaillé. Elle est surtout remarquable pour la sculpture de André VERMARE qui représente les deux enfants de Lyon c'est à dire une homme musclé nageant à contre courant, Le Rhône, et une femme nageant sous le Rhône, La Saône. une partie du moulage est conservé au musée Poitiers, mais non exposé.
Le côté place de la Bourse, sont érigées deux statues de personnages importants pour la Chambre : Edouard AYNARD député du Rhône pendant 24 ans et Auguste ISAAC ministre du Commerce. Il s'agit de l'entrée principale et officielle qui oriente directement à la Corbeille.
La corbeille est une pure merveille d'architecture. Tout autour de la salle sont représentés les armoiries des principales villes commerciales du monde ( Londres, Paris, Saint Petersbourg, Vienne, New-York, Madrid, Turin, Naples, Rouen, Mulhouse, Alger, Genève, Bordeaux, Leipzig, Nantes, Strasbourg, Lille, Le Havre, Francfort, Marseille, Hambourg, Milan, Reims et Saint-Etienne). Chacune des armoiries est entourée par les symboles de leurs pays respectifs. Mais pendant la guerre de 1870 les armoiries des villes allemandes ont été supprimées. Tout en haut sur les coins du plafond se trouve 24 cariatides et atlantes en bois d'environ 3 mètres réalisaient par Guillaume BONNET.
En face au centre se trouve une horloge sculpté en pierre de Carrare (ville italienne qui a la particularité d'avoir des carrière de marbre d'une blancheur absolu). Le sculpteur Jean-Marie BONNASSIEUX a réalisé 3 femmes qui représente le temps qui passe, c'est a gauche l'heure future qui commence à se dresser entraîner par l'heure présente qui triomphe mais qui a déjà son regard sur le passé à droite qui descend et disparaît. L’allure des bras et des regards accompagne en harmonie le mouvement des aiguilles.
Enfin en dernier mais surement ce que vous aurez remarqué en premier dans la salle, le plafond. Composé en 3 parties peintes, la peinture centrale représente l"apothéose de la ville de Lyon". En haut de la peinture une allégorie de Lyon portant sa couronne est entouré des 7 vertus. Au centre le génie des Arts brandit une couronne de lauriers et une torche pour glorifier l'allégorie de Lyon. En bas le lion (symbole de Lyon) est entouré par deux personnages âgés que sont le Rhône et la Saône le tout sur un fond d'une scène commerciale avec un paysan issu de l’agriculture de la région et un soldat issu de la très florissante manufacture d'armes de Saint-Etienne.
En face au centre se trouve une horloge sculpté en pierre de Carrare (ville italienne qui a la particularité d'avoir des carrière de marbre d'une blancheur absolu). Le sculpteur Jean-Marie BONNASSIEUX a réalisé 3 femmes qui représente le temps qui passe, c'est a gauche l'heure future qui commence à se dresser entraîner par l'heure présente qui triomphe mais qui a déjà son regard sur le passé à droite qui descend et disparaît. L’allure des bras et des regards accompagne en harmonie le mouvement des aiguilles.
Enfin en dernier mais surement ce que vous aurez remarqué en premier dans la salle, le plafond. Composé en 3 parties peintes, la peinture centrale représente l"apothéose de la ville de Lyon". En haut de la peinture une allégorie de Lyon portant sa couronne est entouré des 7 vertus. Au centre le génie des Arts brandit une couronne de lauriers et une torche pour glorifier l'allégorie de Lyon. En bas le lion (symbole de Lyon) est entouré par deux personnages âgés que sont le Rhône et la Saône le tout sur un fond d'une scène commerciale avec un paysan issu de l’agriculture de la région et un soldat issu de la très florissante manufacture d'armes de Saint-Etienne.
Au rez de chaussée, une deuxième salle importante a visiter absolument, la salle d’apparat dédié à Roger MICHAUX un syndic des agents de change qui était une figure lyonnaise.
Il avait dirigé L'OL ( Olympique Lyonnais) et il a aidé Jean Michel AULAS à prendre possession du club.
La première vision doit aller au plafond voûté conçu par le décorateur Dominique DENUELLE. Il a représenté les allégories du Commerce de Venus et des arts dan un ensemble centré sur une rosace un peu comme une nef d'église. Sur le mur en face, une cheminée imposante est surmontée d'une toile d'un lion armé d'une épée. Elle a remplacé une oeuvre présentant Napoléon III.
Il avait dirigé L'OL ( Olympique Lyonnais) et il a aidé Jean Michel AULAS à prendre possession du club.
La première vision doit aller au plafond voûté conçu par le décorateur Dominique DENUELLE. Il a représenté les allégories du Commerce de Venus et des arts dan un ensemble centré sur une rosace un peu comme une nef d'église. Sur le mur en face, une cheminée imposante est surmontée d'une toile d'un lion armé d'une épée. Elle a remplacé une oeuvre présentant Napoléon III.