Accueil/Vieux Lyon/Saint-Jean/Maison du Chamarier
Tout d'abord qu'est-ce qu'un chamarier?
Il s'agit d'un dignitaire ecclésiastique typique de Lyon, il avait une fonction très large de contrôle sur l'ensemble du cloître, un peu comme un intendant.
Construite au tout début de l'ère renaissant, la façade est restée du style gothique flamboyant reconnaissable par son organisation: le rez-de-chaussée pour le commerce, les 2 étages suivants identiques puis le dernier étages constitué d'attiques irréguliers. La façon dont sont fait les décors des fenêtres prouvent que se sont les même sculpteurs que pour la Primatiale Saint-Jean.
Après la porte vous allez passé sur ce qu'il reste des premières fondations datant du XIIIe siècle. Pour accéder à l'émerveillement du style renaissant de la cour intérieur. D'abord devant vous, le puit et la fontaine du XVIe siècle impressionne par ses proportions idéales et ses décorations très riches. Le puit a souvent été déplacé mais aura finalement repris sa place initiale d'où le petit rehaussement. Emplacement très étudié car en total opposition avec la tour pile en face.
Tour constitué de deux facettes avec des fenêtres d'angles prouvant le modernisme saisissant de la maison à l'époque. De plus les piliers sur le côté à gauche sont structuré de façon très différentes à chaque étages(d'abord à facette puis rond avec décotes aux angles puis polygonale puis torsadé et enfin en enfilade. A l’intérieur de cette tour se trouve un escalier à vis avec un noyau central torsadé équipé de deux moulures utilisées comme rampe. Une marche d'escalier était sculpté en une seule pierre noyau compris.
Les galeries ouvertes permettent de voir les plafonds avec des couleurs vives magnifiques indiquant que le lieux restait malgré tout agréable et festif. Les fresques très fragiles restent malheureusement inaccessibles.
Une boulangerie-pâtisserie occupe le rez-de-chaussée, "A la Marquise" qui propose de très bonnes tartes à la praline, des bugnes et surtout une tropézienne aux dimensions énormes qui ravira les plus gourmands.
Il s'agit d'un dignitaire ecclésiastique typique de Lyon, il avait une fonction très large de contrôle sur l'ensemble du cloître, un peu comme un intendant.
Construite au tout début de l'ère renaissant, la façade est restée du style gothique flamboyant reconnaissable par son organisation: le rez-de-chaussée pour le commerce, les 2 étages suivants identiques puis le dernier étages constitué d'attiques irréguliers. La façon dont sont fait les décors des fenêtres prouvent que se sont les même sculpteurs que pour la Primatiale Saint-Jean.
Après la porte vous allez passé sur ce qu'il reste des premières fondations datant du XIIIe siècle. Pour accéder à l'émerveillement du style renaissant de la cour intérieur. D'abord devant vous, le puit et la fontaine du XVIe siècle impressionne par ses proportions idéales et ses décorations très riches. Le puit a souvent été déplacé mais aura finalement repris sa place initiale d'où le petit rehaussement. Emplacement très étudié car en total opposition avec la tour pile en face.
Tour constitué de deux facettes avec des fenêtres d'angles prouvant le modernisme saisissant de la maison à l'époque. De plus les piliers sur le côté à gauche sont structuré de façon très différentes à chaque étages(d'abord à facette puis rond avec décotes aux angles puis polygonale puis torsadé et enfin en enfilade. A l’intérieur de cette tour se trouve un escalier à vis avec un noyau central torsadé équipé de deux moulures utilisées comme rampe. Une marche d'escalier était sculpté en une seule pierre noyau compris.
Les galeries ouvertes permettent de voir les plafonds avec des couleurs vives magnifiques indiquant que le lieux restait malgré tout agréable et festif. Les fresques très fragiles restent malheureusement inaccessibles.
Une boulangerie-pâtisserie occupe le rez-de-chaussée, "A la Marquise" qui propose de très bonnes tartes à la praline, des bugnes et surtout une tropézienne aux dimensions énormes qui ravira les plus gourmands.